Dire que le monde va mal c’est dire qu’il faut changer des choses et transformer un système producteur de violences sociales. Le dire avec des slogans ne suffit pas à convaincre les premièr.e.s concerné.e.s. Le dire avec des accents de morale nous confine entre convaincu.e.s.
Alors notre projet, c’est de prendre le Maquis collectivement.
D’apprendre le Maquis. D’accueillir celles et ceux qui ont des choses à dire, à affirmer de là où ils-elles sont, qui ont le désir de construire ensemble.
Notre projet c’est l’accueil : l’accueil des personnes, l’accueil des paroles, l’accueil des révoltes.
Notre projet est de fabriquer un courant contraire.
De fabriquer du ON, de la parole collective, des pièces de théâtre, des corps dansant, des chants qui résonnent, des lettres enflammées, des sorties fraternelles, de la Culture, de la poésie, de l’Amour.
Puissance du vivant pour changer les choses ».
LJ. Maquisard